financement - la recherche sur l’aluminium vaccinal enfin financée
L’Agence nationale pour la recherche (ANR) vient d’annoncer qu’elle apporte son financement afin de poursuivre les travaux de recherche sur l’aluminium utilisé dans les vaccins. Cette avancée historique s’inscrit dans la continuité d’une forte mobilisation citoyenne.
En novembre 2012, les militants de l’association E3M entamaient une grève de la faim pour obtenir le financement de la recherche sur les effets secondaires liés à l’utilisation d’aluminium dans les vaccins. Le 21 décembre 2012, le Gouvernement annonçait qu’il en acceptait le principe. Un an plus tard, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) versait 150 000 euros à l’équipe Inserm des Pr Gherardi et Authier, spécialistes mondiaux du sujet. L’association E3M apportait aussi sa contribution financière, ainsi qu’une fondation nord-américaine (CSMRI).
Le 8 mars 2017, les résultats de l’étude étaient portés à la connaissance du conseil scientifique de l’ANSM.
L’étude de la translocation des particules d’aluminium dans l’organisme des souris injectées démontre très clairement que celles-ci sont biopersistantes à très long terme, que leur présence au niveau du muscle injecté tend à décroître dans le temps, tandis qu’elle a tendance à croître au niveau de la rate, des ganglions lymphatiques et inguinaux, et même au niveau du cerveau chez les souris ayant reçu la dose la plus faible en sous-cutané (200 µg d’aluminium par kilogramme).
Le processus autophagique (par lequel les cellules éliminent de nombreux déchets) serait défaillant chez les patients atteints de myofasciite à macrophages, induisant une moins bonne prise en charge des nanoparticules d’aluminium.
28 mois plus tard (juillet 2019), l’Agence nationale pour la recherche annonce qu’elle apporte son financement afin que les travaux se poursuivent. Le projet est accepté (financement de 400 000 euros, durée de la recherche : 4 ans).
L’association E3M se réjouit de cette décision, survenue après que plusieurs refus aient été essuyés par les chercheurs au cours des années précédentes. Mais elle fait ce terrible constat : que de temps perdu…
Comprendre les mécanismes de survenue de la myofasciite à macrophages est bien sûr essentiel. Mais de nombreux autres domaines doivent aussi être investigués au plus vite. Parmi ceux-ci : le lien entre l’aluminium vaccinal et d’autres pathologies, les alternatives à l’aluminium (notamment le phosphate de calcium), les méthodes thérapeutiques à développer pour soigner les malades de l’aluminium vaccinal…
La recherche doit donc se poursuivre, et seuls des financements citoyens seront à même de la financer au plus vite.