vaccin Gardasil - la mort au bout de la seringue
Seuls les sites sensibilisés aux problèmes des vaccinations osent parler des victimes de vaccins. C’est ainsi que la nouvelle de la mort d’une jeune fille américaine, nommée Kate, est apparue sur www.healthimpactnews.com, relayée ensuite par www.initiativecitoyenne.be, qui délivre avec célérité toutes les informations importantes sur le sujet des vaccinations. Le site américain indépendant www.healthimpactnews.com se consacre à la veille sanitaire et dénonce l’insécurité des vaccins. Ainsi peut-on y trouver l’histoire de 19 jeunes filles décédées après le vaccin HPV (contre les papillomavirus liés au cancer du col de l’utérus). Ces faits ont été rapportés également dans le film Vaxxed (sous l’égide du Dr Andrew Wakefield), qui montre entre autres le lien entre vaccins et autisme et qui brise le silence sur la violence vaccinale faite aux enfants.
Les effets secondaires des vaccins HPV (Gardasil et Cervarix) sont si nombreux qu’il est impossible d’en faire l’énumération complète ici. Signalons que l’agence VAERS (système de pharmacovigilance américain) relevait fin 2010 que 15 037 jeunes filles avaient officiellement signalé des effets secondaires au Gardasil aux Etats-Unis. Le CDC (Centre de contrôle et de prévention des maladies) reconnaissait que 47 décès après l’administration du vaccin avaient été rapportés aux Etats-Unis. Quand on sait que seulement 1 % des effets secondaires sont notifiés par les médecins, on peut s’interroger sur le nombre réel de victimes.
Partout dans le monde, de nombreux sites Internet dénoncent ces effets indésirables ; on y trouve des chiffres récents qui font froid dans le dos. Pour n’en citer qu’un, le site américain www.vactruth.com mentionne plus de 300 histoires sur les effets de ce vaccin !
Les autorités médicales ont connaissance de toute l’histoire tragique de la vaccination depuis la variole jusqu’à nos jours mais rien n’arrêtera la folie vaccinale, en totale opposition au principe hippocratique. Un vaccin qui cause la mort de plusieurs personnes dans les suites immédiates de la vaccination ne doit en aucun cas continuer à être commercialisé, cela tombe sous le sens. Or il n’en est rien. Le journal Natural News (22 avril 2008) titrait : « Vaccin HPV : soin préventif ou sacrifice humain ? » Sacrifice certes, qui s’accompagne en outre de souffrances infinies car les jeunes filles en pleine santé, souvent de brillantes sportives, comme ce fut le cas de Kate, meurent à un âge où l’on ne doit pas mourir. Kate avait 19 ans et avait supporté des souffrances pendant 3 ans.
Les jeunes filles ne devraient pas risquer leur vie dans la fleur de l’âge, un suivi gynécologique et une bonne hygiène sont le meilleur rempart au cancer du col de l’utérus.